Au programme du dimanche 13 janvier, visionnage de Filatures de Yau Nai Hoi, premier film du scénariste des célèbres Triangle et Election de Johnny To.Le film commence doucement, et les images me perturbent déjà un peu. Un trop plein d'effets (zoom entre autre) gâche l'appréciation des premières minutes... Ajouter à cette réalisation, une bande son pas très digeste, trop présente donnant lieu à une symphonie rythmique parfois dérangeante.
Le scénario est quant à lui classique et plutôt fluide, l'histoire se suit mais n'offre aucune suprise. On regrette que cette trame n'est pas été valorisée par une réalisation plus audacieuse qui aurait pu sublimer le film et le détacher de l'éternelle histoire de filature.
Le jeu d'acteur est plutôt bon, mais les personnages restent trop neutres à mon goût, ce qui rend les relations et les acteurs peu attachants ; point qui serait peut etre une volonté du réalisateur selon certain (ndlr "H").
Un film qui ne sera certainement pas une référence du polar Hongkongais, marquant le premier coup d'essai de Yau Nai Hoi. Filatures reste néanmoins correct, un film qui se regarde sans plus.
Le scénario est quant à lui classique et plutôt fluide, l'histoire se suit mais n'offre aucune suprise. On regrette que cette trame n'est pas été valorisée par une réalisation plus audacieuse qui aurait pu sublimer le film et le détacher de l'éternelle histoire de filature.
Le jeu d'acteur est plutôt bon, mais les personnages restent trop neutres à mon goût, ce qui rend les relations et les acteurs peu attachants ; point qui serait peut etre une volonté du réalisateur selon certain (ndlr "H").
Un film qui ne sera certainement pas une référence du polar Hongkongais, marquant le premier coup d'essai de Yau Nai Hoi. Filatures reste néanmoins correct, un film qui se regarde sans plus.
2 commentaires:
L'ayant vu par l'intermédiaire du DVD HK il y a quelques mois, puis au cinéma, il est clair que le "filmage" est moins digeste sur grand écran du fait de son trop-plein de zooms, dézooms, surcadrages, caméra portée, etc, pour créer la tension et la sensation d'être tout le temps observé. Par contre de mon côté j'avoue avoir adoré la séquence d'intro où TOUT, mais vraiment TOUT passe par le regard des acteurs. La caméra joue d'ailleurs elle aussi un rôle "voyeur". Dans l'ensemble le film reste en revanche trop classique, mais reste dans la moyenne gamme des productions Milkyway.
Perso j'attends le Mad Detective de Johnny To, qui devrait étre un trés bon polar.
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