mardi 27 décembre 2011

Une bonne soupe chez Lien Hung - Pho 15

mardi 27 décembre 2011
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Samedi dernier, l’envie d’une bonne soupe chaude me prit. Quand je réfléchis à ce qui pouvait me combler, je pensai tout de suite à un Pho. Etait-ce raisonnable à quelques heures du repas de Noël chez belle-maman ? Pas vraiment, je le conçois.

Après notre séance ciné, direction Belleville pour se rendre chez Tin Tin. A notre arrivée, oh stupeur, le store était baissé, une affichette mentionnait une fermeture exceptionnelle ce samedi. Nous nous regardons, fixons les enseignes environnantes et tombons sur le “Pho 15”. Tiens c’est bizarre, je ne l’avais jamais remarqué celui-là et pourtant il est bien situé - juste en face de notre habitude QG. Devanture et vitres impeccables, ça sentait le neuf. Effectivement le restaurant avait ouvert ses portes deux mois auparavant. Le lieu idéal pour siroter un pho.

lundi 19 décembre 2011

Tatouage : Le goût du sang

lundi 19 décembre 2011
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Drame du cinéaste japonais Yasuzo Masumura, Tatouage/Irezumi (1966) est une oeuvre qui relate la condition de la femme japonaise. Le cinéaste est notamment connu pour avoir été l’élève de cinéaste majeurs comme Kenji Mizogushi, Kon Ichikawa ou bien encore Kozaburo Yoshimura.

Otsuya vit une passion secrète avec Shinsuke, l’employé de son père. Un soir, le couple s’enfuit et trouve refuge chez un aubergiste, Gonji, qui se débarrasse de l’amant d’Otsuya et la vend au tenancier d’une maison de geisha. Un tatoueur éblouit par la beauté d’Otsuya décide de lui tatouer de force une araignée sur le dos. Dès lors, elle est l’objet d’une renommée grandissante jusqu’au jour où Shinsuke réapparaît…

mercredi 14 décembre 2011

Une mangue verte, du sel et du piment

mercredi 14 décembre 2011
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Il existe de multiples variétés de mangue. En France, les plus répandues et appréciées sont les “Kent”. Ces mangues à la peau verte, rouge et jaune dont la chair orangée est juteuse et sucrée.

Au Cambodge (et dans d’autres contrées : sur l'île de la Réunion, au Sénégal), la star des étales est la mangue verte douce, je précise car il existe aussi une variété acidulée, qu’on utilise davantage pour les salades et plats salés.

Cette mangue à la peau verte cache une chaire ferme, croquante et sucrée, dont la saveur ravira les palais les plus fins. Elle peut se manger nature, mais on préféra l'accommoder avec un mélange de piment et de sel (qui décuplera son délicat parfum). Une autre variante sera de la déguster avec un mélange à base de sauce de poisson, sucre et piment. Un régal.

lundi 12 décembre 2011

Jour 6 : A cheval

lundi 12 décembre 2011
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Lors de notre arrivée en Mongolie, Suvdaa nous avait exposé les détails de notre circuit. Le programme était assez conforme à ce qu’on avait prévus à un détail près… 

- Au fait je vous ai ajouté une balade à cheval, ça vous va ?
- Euh… oui pourquoi pas, mais nous n’en avons jamais fait. Enfin si du poney, mais ça date…
- Ah mais ce n’est pas grave. Les chevaux mongols sont très doux et dociles, ne vous inquiétez pas.

dimanche 11 décembre 2011

"Royaumes" - Le cambodge au théâtre du Soleil

dimanche 11 décembre 2011
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Le Phare Ponleu Selpak (PPS) est une association Cambodgienne basée à Battambang, qui propose des activités culturelles et artistiques à plus de 450 jeunes. Chaque année depuis 2011, des tournées en Europe sont organisées avec le collectif Clown d'ailleurs et ici.

Cette année, le spectacle "Royaume" sera à l'affiche au théâtre du Soleil (Cartoucherie - Paris 12), du 11 au 31 décembre. Autour d'un conte khmer contemporain avec le karaoké comme fil rouge, venez découvrir le mythe du royaume khmer "Srok khmere" si présent dans le quotidien des cambodgiens.

Mélange de moyens traditionnels (théâtre d'ombre) et moderne (projection d'images, voix off, musicien live), "Royaumes" est une histoire empreinte de la culture khmer.

mardi 6 décembre 2011

Jour 5 : Rencontre avec la vie nomade

mardi 6 décembre 2011
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[Dans l'épisode précédent, c'est le drame : le jour où la vodka coula]

Après une nuit dans la forêt, nous voici repartis pour une journée d’excursion. Le temps est toujours aussi clément. Le moteur tourne. Jack nous dépose au pied d’un arbre sacré. Nous sortons, marchons en faisant trois fois le tour de l’arbre et ajoutons une pierre à l’Ovoo qui se trouve sous les branches. En Mongolie, les Ovoo prennent pour la plupart la forme d’un tas de pierres et se trouvent au sommet des collines et montagnes. Ils sont édifiés comme des repères et sont considérés comme des monuments sacrés. Un mongol doit toujours s’y arrêter pour faire une offrande (argent, vodka ou produits laitiers) et y ajouter une pierre en guise de reconnaissance et preuve de son passage.

dimanche 4 décembre 2011

Exposition "La Mongolie entre deux ères, 1912-1913"

dimanche 4 décembre 2011
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Du 29 novembre 2011 au 16 septembre 2012, venez découvrir "La Mongolie, entre deux ère. 1912-1913", exposition présentée au musée Albert-Kahn à Boulogne-Billancourt. Au programme sur 500m² des collections d'images, des objets archéologiques, des films en noir et blanc, le tout au milieu des steppes, yourtes et temples bouddhistes.

Où ?
Musée Albert-Kahn
10-14 rue du Port
92 100 Boulogne-Billancourt 
Métro Boulogne Pont de Saint-Cloud

mardi 29 novembre 2011

Exposition "Samouraï, Armure du guerrier"

mardi 29 novembre 2011
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Pour la première fois en Europe, le musée du quai Branly présente l'exceptionnelle collection d'armures de samouraïs réunie par Ann et Gabriel Barbier-Mueller jusqu'au 29 janvier prochain, Samouraï - Armure du guerrier.


L'exposition vise à faire découvrir à travers les armures, les casques et caparaçons équestres, l'univers du Japon ancien, l'évolution de l'omote dogu (apparence extérieur et équipement du guerrier) du 12e au 19e siècle.

lundi 21 novembre 2011

Le Nouveau Pho de Paris 2 à Phnom Penh, Cambodge

lundi 21 novembre 2011
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Rien ne creuse plus que de passer un après-midi à visiter la capitale cambodgienne, dans cette effervescence si singulière à Phnom Penh. La nuit déjà tombée, nous nous arrêtons au restaurant le Nouveau Pho de Paris, le deuxième, situé au 26 boulevard Monivong (le premier étant situé au 260 de ce même boulevard). Cet établissement est tenu par une famille franco-cambodgienne. Il est surtout spécialisé dans des plats vietnamiens : le Pho, les Banh Cuon et Banh Xeo. Personnellement, j’étais là pour manger cambodgien. Ce que je fis ! 

jeudi 17 novembre 2011

Du cinéma indien au Jeu de Paume

jeudi 17 novembre 2011
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Le Jeu de Paume (place de la Concorde) présente jusqu'au 22 janvier, l'oeuvre de deux cinéastes indiens : Jahnu Barua et Adoor Gopalakrishnan. Issus tous deux du Film Institute de Pune, ils partagent néanmoins des repères géographiques différents, l’Assam au nord-est de l’Inde pour Jahnu Barua et le Kerala au sud-ouest pour Adoor Gopalakrishnan. De ces origines naissent des histoires respectives et des langues propres (l'assamais et le malayalam).

vendredi 11 novembre 2011

Exposition "Ecrans de papiers - Le cinéma chinois"

vendredi 11 novembre 2011
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Écrans de papier - Le cinéma chinois et ses magazines est une sympathique exposition pour découvrir l'histoire du cinéma chinois de manière originale. A travers 300 couvertures de journaux, revues et magazines, de 1921 à 1951, venez explorer le sept art chinois, alors centre de la vie artistique, culturelle et sociale de nombreuses villes comme Shanghai, Hong Kong, Pékin ou Canton.




Exposition du 16 novembre au 17 décembre 2011
Vernissage le 15 novembre à 18h
Ouverture du mardi au samedi de 15h à 20h
Galerie Colbert
Salle Roberto Longhi
2 rue Vivienne - 75002 Paris
Accès : 6, rue des Petits-Champs - Entrée libre
Diana

lundi 24 octobre 2011

Exposition "Elles changent l'Inde"

lundi 24 octobre 2011
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Du 21 octobre 2011 au 8 janvier 2012, le Petit Palais (Paris 8ème) présentera une exposition sur le thème des femmes en Inde, intitulée "Elles changent l'Inde". 108 photographies de la coopérative Magnum Photos ont été sélectionnées pour illustrer la place de ces femmes et leur contribution à "changer le monde".

De l'évolution de leur métier (l'exercice de métiers "d'homme" : chauffeur de taxi, vigile...) à leur influence dans le paysage politique (portraits de figures féminines), l'exposition tente d'apporter un regard contemporain sur leur statut au sein de la société indienne.

Exposition "La Cité interdite" au Louvre

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Jusqu’au 9 janvier, le Louvre ouvre ses portes aux trésors de la Chine à travers l’exposition La Cité interdite au Louvre - Empereurs de Chine et rois de France. Plus de cent trente oeuvres seront mises en perspective dans trois espaces distincts : peintures, vases, coupes, laques, costumes d’apparat, tenues militaires ou calligraphies... Par le biais de ces objets, l’exposition retrace l’évolution de la Cité Interdite, la succession des souverains chinois et pour chaque période les échanges qui ont pu exister entre la France et la Chine.

mercredi 19 octobre 2011

Café Noir : Amer

mercredi 19 octobre 2011
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198 minutes, couleur et Noir&Blanc se confondent. Goethe, Dostoïevski, Beethoven, Vivaldi… De l’hommage : Hong Sang-soo, Park Chan-wook, Kim Ki-duk... Un critique de cinéma derrière la caméra pour sa première œuvre mise en scène. Café Noir (2009) est signé par Jung Sung-il et s’inscrit dans une démarche conceptuelle.

Young-soo est un professeur de musique qui entretient une relation avec la mère d’une élève tout en sortant avec l’une de ses collègues, Mi-yeon. La première met un terme à leur relation sous les suspicions de son mari. Young-soo ne parvient à supporter cette rupture et fait bientôt la rencontre de Seon-hwa…

Festival Franco Coréen du Film 2011 : Shortcuts 3

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Dernier tir groupé des courts-métrages de la 6ème édition du FFCF, Shortcuts 3 est un nouveau visionnage sur Mubi.

Dogs and Flowers (2010) de Shin Hyn-tak. Un boiteux, un homme qui joue au loto, un chien, une bande de mafieux, une fille et un bouquet de fleurs. Tout ce petit monde qui se côtoie dans un immeuble un peu délabré. (résumé FFCF) Je ne saurais quoi dire sur ce court-métrage. Il se laisse regarder sans anicroche. On le suit non sans une certaine délectation tout en se demandant où nous entraîne le réalisateur. Il dégage une aura mystérieuse et absurde autour de ces portraits multiples. Tous se côtoient dans un immeuble délabré, personnage central de ce film, à voir assurément.

Dead Drunken Master (2009) de Choi Sung-eun. Hommage au Drunken Master de Yuen Woo Ping qui aurait ici rencontré The Foul King de Kim Jee-woon, ce court-métrage s’avère fort sympathique. On y suit les tribulations d’un salary man réservé qui a du mal à boire de l’alcool. Il est dès lors la risée de ses collègues. Il va faire la connaissance d’un clochard qui va lui apprendre à boire et à se battre… Une mise en scène qui a du punch, des prestations correctes et une histoire qui se laisse regarder. On se plait à regarder ce film rondement mené et qui se paye le luxe d’offrir un combat final réussi.

mardi 18 octobre 2011

Possessed : Talismans vs Prières

mardi 18 octobre 2011
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Thriller horrifique de Lee Yong-joo, Possessed (2009) met en scène la disparition de So-jin, une adolescente de 14 ans. La sœur de cette dernière, Hee-jin, qui étudie à Séoul retourne chez sa mère, une religieuse fanatique qui refuse d’appeler la police. Contre l’avis de sa mère, Hee-jin contacte la police qui pense à une fugue. Le suicide d’une voisine va amener la police vers une affaire des plus étrange…

Possessed met au cœur de son sujet la religion. Ce premier film de Lee Yong-joo traite avant tout du christianisme et du chamanisme qui ont leur place dans la société sud-coréenne. Avec ce matériel sous la main, l’ancien assistant de Bong Joon-ho sur Memories of Murder brasse également les genres. Possessed est à la fois un film policier et un film de fantôme qui sort facilement du lot de films d’horreur et d’épouvante. Le cinéaste s’amuse à nous faire peur avec cette histoire teintée de surnaturel. Il développe une intrigue alambiquée faite de fausses pistes et de rebondissements qui s’avèrent quelque peu lassants, au bout d’un moment. Il aurait du être plus concis car on n’échappe pas à quelques longueurs. Nous sommes face à un premier film et ses défauts, c’est un fait. Au-delà de cela et d’un dénouement qui finalement n’a rien de transcendant, Possessed se laisse regarder et apprécier. La réalisation est correcte, la photo est jolie et le casting honnête. Un bon divertissement qui sait faire peur.

Late Autumn : Sur la route…

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100ème film de Kim Soo-yong, Late Autumn (1981) est un remake du film éponyme de Lee Man-hee.
Hye-rim est une prisonnière qui a obtenue une permission pour se rendre sur la tombe de sa mère. Sur le chemin qui l’y emmène, elle fait la rencontre d’un voleur. Ils tombent amoureux et il est bientôt temps pour Hye-rim d’entrer à nouveau en prison… 

La version 1981 de Late Autumn accuse le coup des années qui se sont écoulées. Il y a un faux rythme palpable et des interprétations loin d’être au fait. Pourtant, il s’y dégage une émotion singulière entre l’amour quasi-impossible de cette femme, devenue meurtrière, et de cet homme qui semble vouloir échapper à un passé lourd. Un amour chronométré dont le temps égraine inlassablement les minutes. Une course incessante d’un couple amoureux qui tente de profiter pleinement et parfois maladroitement de cet interstice que le destin leur a donné.

lundi 17 octobre 2011

Festival Franco Coréen du Film 2011 : Spécial Kang Jin-a

lundi 17 octobre 2011
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Lauréate du Prix FlyAsiana 2010 pour son court-métrage Suicide of the Quadruplets (2008), la cinéaste Kang Jin-a est mise à l’honneur au travers de son travail dans cette 6ème édition du Festival. On y découvre son film primé ainsi que trois autres courts-métrages…

Suicide of the Quadruplets (2008) raconte l’histoire de quatre lycéennes qui sont les témoins du suicide de quadruplés. Un journaliste tente de comprendre ce geste. Original et rempli d’humour, ce court-métrage est un agréable moment de cinéma qui nous amuse tout autant qu’il nous passionne. Kang Jin-a fait preuve d’une grande dextérité derrière la caméra et offre un travail maîtrisé et mature.

Be with Me (2009) est un court-métrage touchant. On retrouve à nouveau la thématique de la mort. Ici, le personnage de Hyuck-eun attend que sa petite amie, Cha-kyung entre du travail. Sur le chemin du retour, cette dernière meurt dans un accident de la route... En l’espace d’une demi-heure, la cinéaste nous entraîne sur la douleur provoquée par la mort d’un être proche. Le deuil, la blessure que l’on soigne et la vie qui continue inexorablement, une émotion palpable se dégage de ce film qui offre des idées intéressantes et un regard fort. Il est également amusement de retrouver un clin d’œil à « ses quadruplets ». 

The Code of a Duel : Face à face

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Film indépendant réalisé pour une bouchée de pain, The Code of a Duel (2006) de Yeo Myung-jun met en scène un film d’action influencé par le cinéma d’arts martiaux provenant de Hong Kong et du Japon.

Dans un présent imaginaire, la loi coréenne permet à deux individus de se défier en duel au sabre, la condition de victoire étant la mort de l’adversaire. Young-bin, un salarié ordinaire, est un redoutable combattant, et s’entraîne avec ses amis Un-kwang et Bon-guk. Le gouvernement décide enfin d’abroger cette loi… (résumé FFCF)

Invasion of Alien Bikini : Pour quelques gouttes…

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Avec un titre aussi vendeur, Oh Young-doo et son collectif Kino Mangosteen avaient de quoi interpeller le chaland friand d’aventures et de science-fiction. Invasion of Alien Bikini (2011) nous raconte donc l’histoire de Young-gun, un jeune homme affublé d’une fausse moustache qui lutte contre les incivilités dans sa ville. Lors de l’une de ses tournées, il sauve une jeune femme, Monica, des griffes de quatre hommes et se réfugie chez lui avec elle. Très vite, Young-gun découvre que Monica est un alien qui a besoin de sperme humain pour se reproduire…

Hello Ghost : Famille

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Comédie mélodramatique de Kim Yeong-tak, Hello Ghost (2010) met en scène Cha Tae-hyeon dans le rôle d’un homme qui tente de mettre fin à ses jours en avalant des pilules. Ce dernier se réveille alors à l’hôpital et se rend compte qu’il voit des fantômes. Pour qu’ils puissent disparaitre, il va devoir les aider à accomplir leurs vœux…

Hello Ghost est une comédie mélodramatique qui passe bien. L’ensemble est pour ainsi dire une comédie remplie de bons sentiments, servie par un casting aux prestations correctes. Côté mise en scène, nous sommes dans du classique. Le côté comédie n’est certes pas toujours réussi parce que souvent lourd mais on parvient tout de même à s’amuser. On aurait aimé que l’humour soit plus travaillé, avec un rythme plus engagé. Ca manque parfois d’imagination. Côté mélodrame le cinéaste est parvenu à ses fins, à un point où j’en avais les larmes aux yeux. Si, si. Cela grâce à la révélation qui nous emporte complètement, un twist final qui donne son sens au métrage et termine par nous achever d’émotion. S*laud de Kim Yeong-tak, il m’a eu !

Anti Gas Skin : FIRE

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Film indépendant qui se veut expérimental et totalement irréaliste, Anti Gas Skin (2010) est enfanté par les frères Kim (Gok et Sun). Ces deux cinéastes apportent avec leur cinéma du sang neuf mais aussi un regard nouveau sur la cinématographique sud-coréenne. Jetons nous dans l’expérience Anti Gas Skin

Un mystérieux tueur en série portant un masque à gaz court toujours. Quatre personnes sont à sa recherche : un politicien candidat aux élections municipales de Séoul, un soldat américain dont la petite amie vient d’être assassinée, un jeune homme qui se prend pour un super-héros et une fille-loup leader d’un culte du suicide. Chacun a des motivations bien particulières pour le retrouver. (résumé FFCF)

samedi 15 octobre 2011

Late Autumn : Errance

samedi 15 octobre 2011
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Film original de Lee Man-hee qui a eu droit à plusieurs remake, Late Autumn (2010) est remis au goût du jour par le cinéaste sud-coréen Kim Tae-yong.

Anna (Tang Wei) est une jeune femme d’origine chinoise, emprisonnée aux Etats-Unis pour meurtre. Sept ans après les faits, elle apprend la mort de sa mère. Une autorisation exceptionnelle lui permet d’assister aux funérailles. Sur le chemin en bus, elle fait la connaissance de Hoon (Hyeon Bin), un jeune homme d’origine coréenne qui lui demande de l’argent pour son ticket de transport. Ce dernier lui donne en échange sa montre en attendant de la rembourser…

End of Animal : Apocalypse

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Premier film de Jo Sung-hee, End of Animal (2010) est un film indépendant qui nous plonge dans une ambiance post-apocalyptique surréaliste. 

Sun-yeong, une jeune femme enceinte rentre chez sa mère en taxi. Elle le partage bientôt avec un auto-stoppeur dont elle ne voit pas le visage. Ce dernier sans gêne et faisant preuve d’une certaine impolitesse connait tout de sa vie ainsi que celle du chauffeur. Alors que le taxi continue sa route, l’homme égrène un compte à rebours. Lorsqu’il arrive à zéro, une lumière éblouissante jaillie. Sun-yeong se réveille, seule…

Festival Franco Coréen du Film 2011 : Shortcuts 2

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Suite des courts-métrages sur la Toile avec Mubi, c’est toujours la 6ème édition du FFCF et c’est le Shortcuts 2 !

Cosmic Man (2011) de Lee Han-bit. A bord de sa navette spatiale, un voyageur intergalactique s’apprête à atterrir sur une planète, peut-être pour y découvrir une forme de vie (résumé site FFCF). Images de synthèse et prises de vue réelle se mélangent dans ce court-métrage. Il y a du boulot, c’est indéniable. C’est beau. Une ambiance énigmatique tourne autour de ce spationaute, seul face à l’univers jusqu’à ce qu’il atterrisse sur une planète. Par contre, le film aurait mérité une présence musicale différente. On dit du silence qu’il est d’or. Ici, il en manque cruellement, la solitude du personnage aurait été alors plus renforcée. Ce reproche est minime et n’altère en rien les qualités du film.

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jeudi 13 octobre 2011

Festival Franco Coréen du Film 2011 : Shortcuts 1

jeudi 13 octobre 2011
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Pour cette 6ème édition du FFCF, un partenariat a été conclu avec le site VOD Mubi. Tentons l’expérience différemment, quittons la salle de cinéma et découvrons ces courts-métrages sur la Toile. Action !

Space Radio (2010) de Kim Da-hye. Honnête film d’animation de 11 minutes qui nous transporte dans le quotidien d’un chien perdu dans l’espace. Ce dernier qui se trouve dans une navette tente désespérément de trouver toute trace de vie et ce via sa radio qui crache des parasites. L’histoire est fluide, nette et sans bavure. Une note d’optimisme en toute fin de métrage parvient à nous emporter dans cette histoire simple et touchante , ceci tout en pudeur.

Pest (2011) de Kim Young-soo. L’ambiance y est angoissante. Un suspens suinte. Nous sommes dans une Corée dévastée par un virus mortel. Dans un immeuble à l’apparence aseptisé survivent des hommes et des femmes que l’armée nourrit et soigne. Dans l’un des appartements, une jeune femme militaire fait la connaissance d’un homme qui vit avec son chien… Une caméra fluide. Des cadres justes. Un bon court-métrage post-apocalyptique qui vit par son atmosphère mortuaire dont émane une tension tout en retenue.

Bleak Night : (Auto-)destruction

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Film de fin d’étude, Bleak Night (2010) de Yoon Sung-hyun nous plonge dans le monde de l’adolescence après la mort prématurée d’un élève.

Alors qu’il vient de perdre son fils, Ki-Tae, un homme tente de comprendre les raisons de sa disparition. Il prend alors contact avec ses anciens amis et camarades de classe en espérant lever le voile. Ces derniers s’avèrent peu éloquents… 

Bleak Night cogne dur. Nous sommes plongés dans un drame complexe qui se joue au passé comme au présent. Le premier intérêt de cette œuvre étant sa déconstruction temporelle, maîtrisée, où se construit petit à petit un puzzle fait de flash-back. Un puzzle où la victime de départ n’est plus celle que l’on pensait et devient d’une certaine manière « bourreau ». Un film au cours duquel les rôles s’inversent et où l’on assiste à la désagrégation d’une amitié forte qui se meure dans les non-dits. Pourtant, Yoon Sung-hyun ne nous offre pas tout de but en blanc. Il offre différentes possibilités d’interprétations laissant dès lors un flou. A l’image de la psychologie de ses personnages qu’il développe et où il évite un quelconque manichéisme. Victime et bourreau se confondent alors dans les relations difficiles que peuvent entretenir des jeunes gens qui souffrent en silence.

Miracle on Jongno Street : Des Hommes

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Miracle on Jongno Street (2010) de Lee Hyuk-sang est un documentaire autour de l’homosexualité. Le réalisateur sud-coréen suit le cinéaste Joon-moon qui met au centre de ses œuvres l’homosexualité (Auld Lang Syne, 2007), l’activiste pour les droits de l’Homme Byung-kwon, le cuisinier Young-soo qui n’a toujours pas fait son coming out et le travailleur administratif Yol qui lutte pour la reconnaissance des droits des séropositifs. 

Il n’y a pas grand-chose à dire de ce documentaire tant le sujet (fort) parle pour lui. Si ce n’est qu’avec Miracle on Jongno Street, Lee Hyuk-sang réalise son premier film mais aussi et surtout il réalise son coming out officiel. Armé de sa caméra, Lee Hyuk-sang a pour but de casser les préjugés et les stéréotypes en nous proposant quatre portraits d’homosexuels. A travers ces portraits, il nous montre combien ce sont des hommes comme les autres. On y trouve des personnes attachantes qui respirent le bonheur de vivre mais on y trouve aussi les doutes et les interrogations qui les minent. La condition qu’ils représentent est loin d’être facile et l’on en prend toute la dimension lorsqu’on perçoit le regard que leur porte la société sud-coréenne. Ce documentaire éveille alors un intérêt considérable en sachant être subtil et sincère. Le réalisateur n’en fait jamais trop, laissant les hommes qu’ils filment s’épanouir devant la caméra.

mercredi 12 octobre 2011

Jour 4 : Le Jour où la vodka coula

mercredi 12 octobre 2011
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[Dans l'épisode précédent : Rentrée des classes !]

Dans l’avion, Diana m’annonça la couleur : un mongol sur deux a un souci avec l’alcool. En l’occurrence un problème avec la vodka, élixir fort apprécié dans cette contrée lointaine à la notre. Hum, problème d’alcool. Une conséquence néfaste : la santé, normal. Une deuxième : la violence. Intéressant. Ce matin là, j’étais encore loin d’imaginer ce qui se passerait en milieu d’après-midi. 

vendredi 7 octobre 2011

Jour 3 : Rentrée des classes

vendredi 7 octobre 2011
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[Dans l'épisode précédent : Bain dans le fleuve Selenge, "Saïn" !]

Lendemain. La fatigue commence à se faire sentir. Dormir sous tente, je savais que ce n’était pas pour Illitch (d’ailleurs il me le fait comprendre et me jette un regard noir), je sais maintenant que ce n’est pas non plus fait pour moi. Nous nous débarbouillons, toujours grâce à nos lingettes, qu’Illitch semble bénir chaque matin.

mardi 4 octobre 2011

Jour 2 : « Saïn »

mardi 4 octobre 2011
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[Dans l'épisode précédent : Nos premiers pas sur les terres mongoles]

Le réveil fut difficile malgré le doux « Bonjour les deux ! Ca va ? » de notre interprète, Chimgee. Nous faisons rapidement notre toilette à l’aide de nos précieuses lingettes, petit-déjeunons : tartine, fromage, gâteaux secs, thé et café chaud… et reprenons la route pour nous arrêter dans la ville d’Erdenet, une importante ville minière (la 2ème plus grande ville du pays). Le 4x4 se gare et nous prenons le temps d’errer sur l’artère principale où pullule petits commerces et stands en tout genre. Nous croisons des locaux qui ne prêtent guères attention à notre présence. On manque de se faire écraser à chaque traversée. Les voitures roulant à toute allure ne semble nous identifier. Nous retournons devant la mairie retrouver Jack et Zorigoo. Nous semblons sortir de ville pour enfin retrouver le grand air, quand le 4x4 emprunte une rue pour rejoindre un groupement d’habitations (des hlm locaux ?). Nous faisons un crochet. Zorigoo profite de notre passage à Erdenet pour saluer son frère.

lundi 3 octobre 2011

Jour 1 : Good Morning Mongolia

lundi 3 octobre 2011
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[Dans l'épisode précédent, Illitch apprend la destination de nos vacances !]

Sortis de l’avion, il pleut. Les vacances commencent bien. Forcément, on quitte l’été parisien pour l’automne mongol. Je sens que je vais adorer ce voyage. Une fois sur le tarmac, un drôle de sentiment m’envahit alors que des voyageurs s’engouffrent dans le bus venu nous chercher. Il est 7h, il fait encore nuit et gris, je regarde autour de moi, il ne semble rien exister aux alentours. Nous sommes comme perdus dans une dimension parallèle. Minute. On est en Mongolie ! Nous sommes perdus au milieu de nulle part ! Oh mon Dieu pourquoi j’ai suivi Diana dans cette aventure ?! On va se faire tuer par un nomade et manger ensuite, les restes donnés au loup. Diana me pousse dans le bus qui nous emmène à une petite entrée à une cinquante de mètres de là. Etait-ce bien nécessaire de prendre le bus ? Bref. Nous pénétrons dans un bâtiment par une petite porte lugubre. Un nouveau sentiment m’envahit. Un sentiment bizarre comme si l’on empruntait un couloir nous menant à l’échafaud. Ce n’était pas un pays communiste la Mongolie avant ? Punaise. Tout me parait si… soviétique. Je le sens mal. Et je n’ai pas terminé de le sentir… mal.

dimanche 2 octobre 2011

Jour 0 : La Mongolie

dimanche 2 octobre 2011
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Les vacances. Il n’y a rien de tel. En cette fin de mois d’août, j’étais parti pour une quinzaine de jours à me la couler douce, chez moi dans cette bonne vieille banlieue parisienne. A me lever à pas d’heure, allumer le PC, faire chauffer l’eau pour le thé, surfer dans mon petit microcosme virtuel de fanas des cinématographies asiatiques. Quelques tartines de Nutella. La douche vers 14, 15 heures. La vie de rêve quoi. Affalé sur son canapé à la façon d’Al Bundy, un film pour fond sonore, je me levais ce matin là pour profiter pleinement de ces congés payés. J’allais traîner mes guêtres sur les forums de Hong Kong Cinémagic (m’embrouiller et m’amouracher avec Léo Ho Tep, scruter aussi les derniers potins de P’tit Panda), de Hkmania (et son blog également pour voir si Cherycok n’avait pas encore craqué son slip avec ses notations de fanboy) et feu Cinémasie accessoirement avec des news dont la source est Google (c’est vaste). Xavier, tu me manques (c’est dit). J’irais également faire un tour dans le boui boui d’Eiga Gogo ! voir si Martin avait enfin mis une nouvelle mise à jour à l’image de Nihon Eiga, tout aussi avare (mais pas de mauvaise foi). Je passerais sans doute jeter un coup d’œil sur les bisseries japonaises d’Oli et son Echec et (ciné)mat, ainsi que les Bulles de Japon du père Olrik, voir surtout si entre temps, il aurait dégotté quelques nouvelles bijins à se mettre devant les mirettes.

samedi 1 octobre 2011

mardi 27 septembre 2011

Vietnam, Laos, Cambodge à l'honneur au Parc Floral

mardi 27 septembre 2011
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Le parc floral de Paris accueillera le 30 septembre et 1er octobre prochain un évènement consacré au Vietnam, Laos et Cambodge, sous le nom de Passion Indochine. Trois pavillons seront dédiés à ces trois terres du Mékong. Au programme des découvertes culinaires, des danses traditionnelles et l'exposition de sites patrimoniaux. Dépaysement garanti avec l'espace végétal inspiré de la baie d'Halong et le décor recréant un temple d'Angkor.

dimanche 25 septembre 2011

Full Contact : Délire explosif

dimanche 25 septembre 2011
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Dans Full Contact/Xia dao Gao Fei (1993) de Ringo Lam, Gao Fei (Chow Yun Fat) est un videur qui sauve son ami, Shen Si (Anthony Wong) poursuivi par un créancier. Tous deux aidés d’un ami, Chung, s’engagent dans un braquage organisé par un psychopathe homosexuel surnommé le Juge (Simon Yam). Mais Gao Fei est trahi durant le braquage et laissé pour mort, Chung meurt. Il revient alors pour régler ses comptes…

Ringo Lam, l’un des plus talentueux cinéastes hong-kongais nous sert une œuvre jouissive et haletante à souhait. Il réalise avec Full Contact l’un de ses chefs d’œuvres, en s’entourant de brillants acteurs à l’image d’Anthony Wong ou de Chow Yun Fat. Sans oublier, Simon Yam qui campe avec brio un méchant de service homosexuel doublé d’un magicien. En gros un psychopathe, c’est du grand. Il y a aussi une nymphomane ainsi qu’un Mister T asiatique, alias le Taré, c’est explosif.

mercredi 21 septembre 2011

Envie d'un bibimbap à Boulogne ?

mercredi 21 septembre 2011
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Je ne pensais pas trouver une bonne adresse à Boulogne où pouvoir dévorer des bibimbaps, c’est chose faite !

Après avoir testé il y a quelques mois le décevant Korean Paradise à Boulogne (sympathique mais sans authenticité, se déclarant coréen mais servant des sushis et makis...), je me laissa tenter par les critiques élogieuses de Corée 21, situé à deux pas du métro Marcel Sembat.

Exposition "Artistes chinois à Paris" jusqu'au 31 déc.

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L'avantage lorsqu'on arpente les couloirs du métro matin et soir, c'est qu'on est rapidement au fait des expos qui se font sur la capitale. Depuis quelques jours, la moue d'un enfant asiatique habille les affiches dédiées à l'exposition "Artistes chinois à Paris". Cet évènement est organisé en deux parties, l’une au musée Cernuschi et l’autre en plein air, au parc Monceau. Les œuvres font apparaître l’influence qu’a eu la Ville Lumière, à partir des années 1920, sur toute une génération d’artistes chinois.

L'exposition est à découvrir du 9 septembre au 31 décembre 2011.

dimanche 18 septembre 2011

Festival Franco-coréen du Film du 11 au 18 oct.

dimanche 18 septembre 2011
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En cette rentrée, on pourra compter une fois de plus sur la présence du Festival Franco-coréen du Film - sa 6ème édition. Les réjouissances débuteront un peu plus tôt cette année, du 11 au 18 octobre. Attention, l'évènement ne prendra pas place à l'habituel Action Christine, mais au cinéma Saint André des Arts (Métro : St Michel).

En ouverture sera présenté Sunny (2011), un film de KANG Hyeong-cheol. A l'honneur, le cinéaste Yoon Sung-hyun (Bleak Night - 2010, remarqué et récompensé au festival du Busan). Notez une avant-première signée Hong Sang-soo avec The Day he arrives (2011).


Kansai, l'autre cinéma japonais du 24 sept. au 27 oct.

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La Maison de la Culture du Japon propose le 3ème volet du panorama du cinéma japonais contemporain "Kansai : l’autre cinéma japonais". Du samedi 24 septembre au jeudi 27 octobre 2011, assistez aux projections de chefs de file du renouveau actuel du cinéma japonais (certains seront présents) dont les films ont été produits dans la région du Kansai : Naomi Kawase, Satoko Yokohama, Kazuyoshi Kumakiri et Atsushi Wada...
 

Festival du cinéma Chinois de Paris du 20 sept. au 4 oct.

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La 6ème édition du Festival Chinois de Paris se tiendra du 20 septembre au 4 octobre 2011 dans une sélection de 7 salles parisiennes, attention aux dates des projections.

Comptez sur une sélection de films récents, un hommage à SANG HU (1916-2004), des documentaires, animations et quelques films d’archives (Consultez la programmation complète).

lundi 22 août 2011

Gantz - Au Commencement : Le purgatoire ?

lundi 22 août 2011
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Premier volet d’un diptyque (il se peut qu’il y ait des suites sait-on jamais), Gantz : Au Commencement / Gantsu : Zenpen (2010) de Shinsuke Sato est l’adaptation live du manga de Hiroya Oku.

A une station de métro, Kei Kurono, un étudiant qui attend le train, pense reconnaître un ami d’enfance, Masaru Kato. Ce dernier vient en aide à un homme qui vient de tomber sur les rails. Il parvient à remonter l’homme. Alors que Kei tente d’aider Masaru à remonter sur le quai, il se retrouve à son tour sur les rails tandis que le train arrive. Les deux jeunes hommes vont se faire écraser puis… ils se retrouvent dans la pièce vide d’un appartement aux murs blanc où se trouve une sphère noire…

jeudi 18 août 2011

Yo, les saveurs Thaï à deux pas de l'Opéra

jeudi 18 août 2011
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Yo, restaurant thaïlandais tout près de l’Opéra de Paris, est situé dans une petite rue calme mais facilement accessible.

Au rez de chaussée comme à l’étage, le décor est très apaisant. La lumière tamisée et les bougies délicatement posées sur chaque table contribuent à l’ambiance très conviviale de ce joli restaurant. L’accueil y est agréable et chaleureux, et le service impeccable !

Quant à la nourriture, c’est une valse de saveurs qui saura éveiller toutes vos papilles.

lundi 15 août 2011

Ip Man 2 : L’œil du dragon

lundi 15 août 2011
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La légende Ip Man revient dans de nouvelle aventure avec Ip Man 2 (2010) de Wilson Yip Wai Shun. Le cinéaste hongkongais signe un nouveau biopic du maître des arts martiaux chinois, toujours campé par Donnie Yen Chi Tan

1949. Ip Man arrive à Hong-Kong avec sa famille. Il ouvre une école de Wing Chun mais peine à trouver des élèves. Les premiers d’entre eux s’attirent des ennuis et oblige Ip Man à affronter les autres maîtres d’école d’arts martiaux… 

Ip Man 2, deuxième volet de ce qui constituera la saga « Ip Man » - lorsque le troisième opus débarquera - est une grosse farce. Disons-le...

Ip Man : Une Légende

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Drame historique signé par l’excellent Wilson Yip Wai Shun (Sha Po Lang, 2005), Ip Man / Ye Wen (2008) est une co-production Chine-HK qui réunit des grands noms du cinéma : Donnie Yen Chi Tan, Simon Yam, Fat Siu… mais aussi Sammo Hung Kam Bo à la chorégraphie. 

Fin des années 30. Dans la ville de Fo Chan où pullulent les écoles de Kung-fu, Ip Man, un maître de Wing Chun respecté de tous, vit paisiblement avec femme et enfant. Nombreux sont ceux qui veulent l’affronter sans succès mais bientôt la Chine est occupée par les Japonais… 

mercredi 10 août 2011

Cold Fish : Comme un poisson dans le sang

mercredi 10 août 2011
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Adapté librement d’un fait divers au sujet d’un tueur en série qui défraya les chroniques japonaises, Cold Fish / Tsumetai Nettaigyo (2010) de Sion Sono - réalisé pour le label Sushi Typhoon - nous plonge dans la vie de Shamoto. Cet homme docile qui a une passion pour l’astronomie tient une petite boutique de vente de poissons avec sa seconde femme, Taeko et sa fille rebelle, Mitsuko. Cette dernière vole dans un magasin et se fait attraper par le gérant. Tandis que Shamoto tente de se faire pardonner par le responsable de l’établissement, un homme d’un certain âge du nom de Murata parvient à régler le conflit. La petite famille de Shamoto fait alors la connaissance de Murata et de sa femme, Aiko. Ils possèdent tous les deux une énorme boutique de poissons exotiques et accessoirement une voiture de luxe. La vie de Shamoto et celle de sa famille vont alors s’en trouver chamboulé lorsqu’ils découvriront le véritable visage de Murata…

 
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