Dans une sphère lointaine, le constat demeure le même. La vétusté des routes et des habitations fait toujours partie intégrante du paysage cambodgien, marquant le fort décalage des volontés de chacun. Un récent reportage de Thalassa a su montrer cet état des lieux et surtout mettre en avant l'omniprésence de la corruption. Les investisseurs sont de plus en plus nombreux et aux dires de certains "le Cambodge offrirait une dimension illimitée de solutions que n'offre aucun autre pays". Le message semble très clair : Pouvoir, argent, passe droit... Du déjà vu.
A Sihanoukville, les familles sont de plus en plus désemparées face à la montée de ces investisseurs. Les municipalités n'hésitent plus à chasser ces familles pour mener à bien leurs chantiers, en dépit des lois locales précisant qu’ « une terre habitée pendant plus de 5 ans par une famille appartient à ce dit foyer ».
A Phnom Penh de grands complexes hôteliers sont en cours et la ville en l'espace de 5 ans a changé de visage : routes modernisées, nombreux commerces dont de grands centres commerciaux (Sorya) approvisionnés en vêtements made in Thaïlande…
A Siem Reap (temple d’Angkor Wat) les hôtels ne cessent de « pousser » faisant des rues de la ville un vrai nid douillet pour touristes, à l’image de l’île de Koh Samui en Thaïlande.
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