vendredi 27 février 2015

La Saveur de la pastèque : Source

vendredi 27 février 2015
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Avec La Saveur de la pastèque / tian bian yi duoyun (2005), Tsai Ming-liang signe une comédie dramatique musicale. Film que l’on pourrait également qualifier d’érotique, il met en scène un acteur pornographique qui rencontre une jeune femme alors que Taïwan subit une sécheresse persistante. Au milieu de la course à l’eau et du jus de pastèque comme alternative, une liaison voit le jour entre le jeune homme et cette surveillante de musée, voleuse d’eau…

mercredi 25 février 2015

Tactical Unit - No Way Out

mercredi 25 février 2015
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Si The Code était avant tout ancré dans l’univers ultra-policier, Tactical Unit - No Way Out / Kei tung bou deui : Juet lou (2008), mis en scène cette fois-ci par Lawrence Ah Mon s’attarde plus sur le drame social. Dans ce deuxième téléfilm de la série des PTU, on s’intéresse à un couple de marginaux. Lui est à moitié handicapé. Elle est une immigrée clandestine…

Des membres de la Police Tactical Unit utilisent un revendeur de cigarette à la sauvette du nom de Fai. Ils le malmènent physiquement pour l’obliger à les aider à coincer un chef de triade. Sans protection et abandonné à son sort, Fai est bientôt la cible des malfrats…

lundi 23 février 2015

La Tanière de la Bête : Ennemie public N°1

lundi 23 février 2015
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La Tanière de la Bête/Joshuu Sasori: Kemono-beya (1973) est la troisième et dernière œuvre de la saga que réalise Shunya Ito. Ce dernier collabore une nouvelle fois avec l’égérie des seventies, Meiko Kaji dans le rôle phare de Sasori. Il livre alors une œuvre stylisée et avec un rythme plus posé que les deux opus précédents.

Dans La Tanière de la Bête, Nami « Sasori » Matsushima est toujours, après son évasion en cavale. Elle va se lier d’amitié avec une prostituée alors que le détective Kondo met un point d’honneur à la retrouver…

vendredi 20 février 2015

Attack On The Pin-Up Boys : Caca swag

vendredi 20 février 2015
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WARNING ! Parental Advisory : Explicit content

(Ressuscitée kimbongparkienne)

Dans les vapeurs d’alcool, de soju pour être honnête et attablés autour d’un barbecue, chez Odori, resto coréen basé Paris 15ème, nous… moi, Oswald et un pote qui habite non loin de là, à quelques rues, Cambronne pour être exact. Eh bien, nous sirotions nos verres tout en affichant des mines décrépites. Je lui avais fait part d’une soirée où les invités parlaient de la grosse commission sans aucune retenue. Dur, mou, liquide, histoire de constipation et j’en passe, l’horreur ! J’étais prêt à les assister pour leur suicide s’ils me le demandaient, et cela gracieusement. « Ils étaient coréens ? » me demanda mon pote alias G’zu, l’air de rien. J’affichais une mine perplexe tout en faisant un signe non de la tête. Sur quoi, il partit dans un monologue en commençant par :

mercredi 18 février 2015

Tactical Unit - The Code

mercredi 18 février 2015
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Il est toujours plaisant de retrouver des personnages que l’on a pu apprécier dans une fiction. D’où les suites au cinéma qui sont souvent dictées, il faut le dire par une démarche mercantile. Ici, Johnnie To Kei-Fung auteur de l’œuvre d’origine avec PTU (2003) fait le choix de produire une déclinaison de suite en téléfilm, au nombre de quatre puis un dernier volet qui conclue l’aventure des membres de la Police Tactical Unit au cinéma. La durée de ces téléfilms est celle d’un film standard. Tactical Unit - The Code / Kei tung bou deui : Ging lai (2008) de Law Wing-Cheong est le premier téléfilm de la série.

Des membres de la Police Tactical Unit sont filmés en train de passer à tabac un malfrat. On ne voit aucun visage des protagonistes de la scène. Les images remontent jusqu’à la hiérarchie de la Police qui ouvre une enquête interne. Les suspects de la PTU ainsi que les affaires internes tentent de retrouver le malfrat en question pour faire le jour sur cette bavure. Dans le même temps, un policier surnommé Eight tente de faire prendre en charge ses dettes auprès de l’administration qui refuse. Ce dernier est à bout…

lundi 16 février 2015

Elle s’appelait Scorpion : Sombre Cavale

lundi 16 février 2015
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Deuxième volet des aventures de Sasori, Elle s’appelait Scorpion/Joshuu Sasori: Dai-41 zakkyo-bô (1972) voit à nouveau l’actrice Meiko Kaji endosser le rôle de Matsushima « Sasori » Nami. Toujours dirigé par Shunya Ito, l’œuvre s’inscrit dans une suite logique où l’on retrouve Sasori un an après sa première aventure. Emprisonnée, affaiblie et humiliée, Matsu n’en garde pas moins une même détermination.

On la retrouve donc en prison où l’infâme directeur borgne, Goda la maltraite et tente de casser son image qui influence grandement ses co-détenus. Ce dernier n’a pas oublié que son œil perdu était de sa faute. Pourtant, lors d’une journée de travaux forcés comme punition, Matsu parvient à s’échapper avec six autres détenus. Goda en fait une affaire personnelle et met tout les moyens pour arrêter leur cavale.

mercredi 11 février 2015

Worlds within, Maha's return

mercredi 11 février 2015
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J’ai choisis ce Drama pour la photo de présentation ^-^ et oui je suis un peu comme ça ;) C’est également comme ça que je choisis mes livres, si la couverture me plait, je l’achète et jusqu’à présent je ne suis pas déçue ! (je lis quand même le résumé)

C’est le premier article que j’écris en regardant le Drama, en même temps, c’est plus simple pour raconter l’histoire et donner ses impressions.

Worlds within (2008). C’est l’histoire de deux jeunes réalisateurs de séries télévisées, Joo Jun-yeong (Song Hye-Kyo) et Jeong Gio (Hyun Bin),  passionnés par leur travail, mais pour des raisons complètements différentes. 

Ils se rencontrent à l’université où commence leur histoire d’amour. Un jour sans prévenir, il la quitte pour son premier amour. Plus tard, ils se retrouvent à travailler pour la même chaîne de production où ils surpassent leur gène et deviennent amis.

Jusqu’au jour où tous deux se séparent de leur conjoint respectif et recommence leur idylle. Le bonheur est présent et d’ailleurs on y croit tellement que c’est  palpable (il est trop sexy Hyun Bin et son sourire… °0° WAAAhh !!!!), lorsqu’ils sont ensemble la magie s’opère !!! Attention la réalité n’est pas une série télé, même si les réalisateurs s’inspirent de leur vie pour mettre en scène. Mais parfois ça vaut le coup de la vivre ainsi et avec un peu de chance, il y aura une fin heureuse.

vendredi 6 février 2015

Yongary, Monstre des Abysses : Kaiju kimchi

vendredi 6 février 2015
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Lorsque les sud-coréens donnent dans le Kaiju trempé dans du kimchi, ça donne : Yongary, Monstre des Abysses / Taekoesu Yonggary (1967), un ersatz foireux-foiré de Godzilla. Ce véritable rip-off du monstre japonais est surtout un nanar qui se savoure comme un Réal-Barça, avec pack de bières à portée de main et pizza XXL à savourer entre potes, le derche creusé dans le canapé. Ce film est propice à une moquerie aux postillons quatre fromages. Lorsque ce n’est pas un retour en enfance où l’on guerroyait, seul aux petits soldats. Cet essai est signé par Kim Ki-duk (?!), pas moins de 66 films au compteur et à ne pas confondre avec « l’autre » qui utilise du poisson surgelé pour trouer des bides. Dès lors, notre bonhomme enfante un film pour petits et grands, surtout petits. Yongary, Monstre des Abysses narre l’histoire de coréens d’exceptions.

Un cosmonaute est rappelé d’urgence par ses supérieurs alors qu’il est en lune de miel. Ces derniers veulent l’envoyer toucher les étoiles pour observer la Terre. Après un séisme, les autorités s’interrogent sur de possible essai nucléaire qui viendrait de la RPC. Ils en profitent également pour envoyer un observateur, armé de son appareil photo dans la région située à la verticale de l’épicentre du tremblement de terre. Il émerge alors des profondeurs  un énorme monstre préhistorique : Yongary ! s’exclament ici et là quelques figurants durant le métrage. Minute ! Comment connaissez-vous son blaze ? Une question qui n’aura, bien entendu pas de réponse.

mercredi 4 février 2015

PTU : Rue nocturne sous haute tension

mercredi 4 février 2015
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Lorsque Johnnie To réalise PTU (2003), initiales de la Police Tactical Unit il frappe un grand et gros coup. Le cinéaste qui monte en puissance depuis The Mission (1999) met en image, avec ce film un joyau du polar auquel il redonne ses lettres de noblesses. Si ce n’est les siennes, tant il va à l’encontre de ce qui a pu se faire auparavant.

lundi 2 février 2015

La Femme Scorpion : Rose rouge & Vengeance noir

lundi 2 février 2015
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Œuvre cinématographique inspiré du manga de Tôru Shinohara, La Femme Scorpion/Joshuu 701 Gou Sasori (1972), premier volet d’une saga lancé par le cinéaste Shunya Ito met en scène l’actrice Meiko Kaji sous les traits de Nami (ou Matsu). Une anti-héroïne, à la fois belle et enfermée dans un mutisme glaciale. Elle est l’incarnation de femmes humiliées et avilies. Nami part en guerre contre une société japonaise machiste où la place de la femme reste celle des fourneaux.

Nami, amoureuse d’un policier des stups qui se prénomme Sugimi accepte d’infiltrer des yakuzas sous sa demande. Démasquée, elle est violée tour à tour par les malfrats et trahie par Sugimi. Nami tente alors de se venger en poignardant Sugimi mais elle se fait arrêter et se retrouve dans l’enfer des prisons.

 
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