Etant petite, je ne comprenais d'ailleurs pas le sens de la pub Lustucru avec cette petite mamie scandant le slogan « la fin des passoires est arrivée ! », n'ayant à mes souvenirs jamais utilisé de passoire pour cuire mon riz. De là me sont venues toutes ces interrogations sur la façon de cuire le riz, et je me suis vite aperçue que la méthode Autocuiseur était loin d'être populaire, mise à part dans les familles Asiatiques.
Tout ça pour en venir à l'importance de cet objet, parce qu'en comptant une portion midi et soir, et 4 bouches à nourrir, il faut admettre que mettre 3 verres de riz dans un bac, ajouter de l'eau puis appuyer sur un bouton était un véritable jeu d'enfant.
Wong Kar Wai fait d'ailleurs un clin d'oeil à cette invention dans In the mood for love, lorsque Maggie Cheung montre à sa voisine, émerveillée, l'Autocuiseur que son mari lui a ramené du Japon.
D'après les Asiatiques la meilleure marque en matière d'Autocuiseur serait National, choisissez davantage un modèle anti-adhérent, encore plus simple pour le nettoyage. J'ai lu sur des forums que les notices étaient parfois peu lisibles. Voici quelques conseils : choisissez un riz Thaï parfumé, mettez le riz (doser avec 1 verre = 1 personne), rincez-le jusqu'à ce que l'eau soit claire, puis ajoutez de l'eau jusqu'à la graduation (1,2,3..) sur le bac correspondant au nombre de verre que vous avez mis (si vous avez mis 1 verre de riz, mettez de l'eau jusqu'à la graduation 1). Appuyer sur le bouton "Cuisson", c'est tout.
Merci à l'inventeur du Rice cooker, dont je recherche toujours le nom...