Les vacances. Il n’y a rien de tel. En cette fin de mois d’août, j’étais parti pour une quinzaine de jours à me la couler douce, chez moi dans cette bonne vieille banlieue parisienne. A me lever à pas d’heure, allumer le PC, faire chauffer l’eau pour le thé, surfer dans mon petit microcosme virtuel de fanas des cinématographies asiatiques. Quelques tartines de Nutella. La douche vers 14, 15 heures. La vie de rêve quoi. Affalé sur son canapé à la façon d’Al Bundy, un film pour fond sonore, je me levais ce matin là pour profiter pleinement de ces congés payés. J’allais traîner mes guêtres sur les forums de Hong Kong Cinémagic (m’embrouiller et m’amouracher avec Léo Ho Tep, scruter aussi les derniers potins de P’tit Panda), de Hkmania (et son blog également pour voir si Cherycok n’avait pas encore craqué son slip avec ses notations de fanboy) et feu Cinémasie accessoirement avec des news dont la source est Google (c’est vaste). Xavier, tu me manques (c’est dit). J’irais également faire un tour dans le boui boui d’Eiga Gogo ! voir si Martin avait enfin mis une nouvelle mise à jour à l’image de Nihon Eiga, tout aussi avare (mais pas de mauvaise foi). Je passerais sans doute jeter un coup d’œil sur les bisseries japonaises d’Oli et son Echec et (ciné)mat, ainsi que les Bulles de Japon du père Olrik, voir surtout si entre temps, il aurait dégotté quelques nouvelles bijins à se mettre devant les mirettes.